tag:blogger.com,1999:blog-3956418724165327620.post8331665685705346514..comments2017-02-28T13:28:27.404-08:00Comments on Meditationes de antiquitatibus romanorum docendis: Réponse à un commentaire...Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/08022775051258130520noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-3956418724165327620.post-5486457526616157062017-02-28T13:28:27.404-08:002017-02-28T13:28:27.404-08:00Ce que tu as proposé à tes élèves me paraît diable...Ce que tu as proposé à tes élèves me paraît diablement intéressant, en effet!Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/08022775051258130520noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3956418724165327620.post-83325504902397122432017-02-26T13:31:20.716-08:002017-02-26T13:31:20.716-08:00Personnellement, et au mépris des programmes offic...Personnellement, et au mépris des programmes officiels, j'ai étudié (succinctement et en traduction) avec les élèves de 5e l'Historia regum Britanniae, de même qu'une inscription, un extrait de Bède le Vénérable, un de Grhoire de Tours, un de Jordanès et un de Wace (dans le désordre), pour étudier les origines du mythe arthurien dans le cadre d'un EPI. Ça vaut ce que ça vaut, mais en une heure par semaine, c'est rude, mais ce travail comparatif intéresse...Benoîthttps://www.blogger.com/profile/00842932227395251907noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3956418724165327620.post-50466191088032234702017-02-11T07:38:31.271-08:002017-02-11T07:38:31.271-08:00N'ayant pas lu l'ouvrage de Clémence Cardo...N'ayant pas lu l'ouvrage de Clémence Cardon-Quint, je ne ferais pas de commentaire sur son travail. Je laisse également de côté les questions linguistiques et épistémologiques pour lesquelles je suis incompétent.<br />Il me semble toutefois nécessaire de faire une remarque qui concerne également l'enseignement de l'histoire. A partir du moment, où l'on cherche à trouver une raison utilitariste à un enseignement, celui-ci est en grand danger. De mon point de vue, nul besoin de trouver des finalités immédiates, pour enseigner ce qui constitue une partie de notre socle culturel. Il me semble que nos disciplines souffrent de plus en plus d’une posture consommatrice qui tend à faire disparaître toute notion d’efforts. Or, l’accès à un champ culturel, à des œuvres, à un ailleurs intellectuel demande du temps, des efforts, de la patience ; ces caractéristiques sont de moins en moins présentes dans notre école. L’ouverture à un ailleurs culturel passé est une bonne propédeutique à une ouverture culturelle présent.<br />Pour l’anecdote, il y a quelques années, un des mes chefs d’établissement a essayé de nous empêcher de faire une sortie au Louvre, en 6ème, au prétexte que les œuvres étaient accessibles sur Internet et que cela était bien suffisant. o tempora, o mores et bien évidemment Ὁ γραμμάτων ἀπειρος ὡς τυφλὸς βλέπει<br />Je partage pleinement la perspective évoquée en fin d’article sur le renouveau de certaines approches et leur nécessité. Pendant trop longtemps, nos chers universitaires (et nos chers maîtres) ont trouvé très confortables les « tours d’ivoire universitaires ». Il est temps qu’ils acceptent et qu’ils prennent conscience de la nécessité de s’adresser à un public plus large (voir très large) :<br />Un universitaire médiatique va attirer des eétudiants vers sa filière (il y a une dimension concurrentielle de plus en plus forte)<br />La nature ayant horreur du vide, si des personnes académiquement qualifiées ne prennent pas en charge la diffusion auprès du grand public cela laisse la place à des histrions (et Clément Salvani ne peut pas passer tout son temps à les combattre:-) ).<br /><br />Bien évidemment, ces propos n’engagent que moi.thomas reyserhttps://www.blogger.com/profile/10273022700039878264noreply@blogger.com